Mystérieuse

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il y a 7 ans

Mystérieuse

Sania venait de commencer ses études dans un campus universitaire où elle se retrouva mélangée à des centaines d’inconnus.

C’était une jeune fille réservée, et il allait lui falloir quelques temps pour se trouver de nouveaux repères. Pour l’instant, elle se contentait d’écouter pendant les cours et de faire ses devoirs.

En prenant le train chaque soir, la jeune fille avait remarqué que, si d’abord il y avait une majorité d’étudiants dans les wagons, ils se diluaient peu à peu parmi les autres voyageurs. En observant les gens qui l’entouraient, Sania distingua une autre fille, un peu ténébreuse, qui avait l’air de la surveiller elle-aussi. En la reconnaissant sur le campus elle avait deviné que c’était aussi une étudiante. Mais elle avait l’air plus âgée, et moins assidue aussi. En tout cas, Sania ne l’avait jamais vue transporter de sac à dos ou de serviette...

Cette fille était plutôt jolie, et s’habillait soigneusement. Elle avait l’air d’aimer les robes courtes et moulantes, qui laissaient voir ses longues et fines jambes drapées de bas toujours sombres.

Samia n’était pas aussi extravagante: elle n’aimait pas qu’on la regarde. Généralement, elle portait des pantalons en jean, et des hauts simples. Ses cheveux blond platine et ses grands yeux bleus attiraient déjà suffisamment l’attention.

Au fil des semaines, Sania et la belle inconnue échangeaient régulièrement un ou deux coups d’oeil. La première faisait cela par ennui, ou parce qu’elle n’avait personne d’autre à regarder. Mais l’autre avait l’air animée par une sorte de curiosité, comme si elle avait trouvé quelque chose chez Sania. Elle ne semblait pas vouloir lui parler, et ne croisait que rarement son regard. Elles ne communiquaient pas.

Un jour, après s’être levée pour aller aux toilettes, la belle brune revint s’asseoir pas loin de Sania, et celle-ci remarqua que le bas de sa robe bleu ciel était resté légèrement relevé. Et cela s’aggrava quand la fille s’assit sur le siège, dévoilant largement ses cuisses. À la limite, Sania aurait pu ignorer ce détail, mais quelque chose l’avait perturbée: en dévoilant le haut de ses cuisses, l’autre fille montrait maintenant le bord en dentelle de ses bas. Cela donna à Sania l’impression de voir quelque chose d’interdit, et elle ne put s’empêcher de se focaliser là-dessus. Tout au long du voyage, elle ne cessa de tourner les yeux dans tous les sens, juste pour apercevoir au passage le bout de cuisse que l’autre fille laissait entrevoir, comme par inadvertance.

Sania croyait avoir eu la surprise de sa vie, mais c’est le lendemain qu’elle se rendit compte de tout ce qu’elle n’avait pas encore vu. En s’asseyant dans le train, elle ne remarqua pas tout de suite qu’elle était à-nouveau près de cette mystérieuse jeune femme. Et quand elle s’en aperçut, elle remarqua que celle-ci attendait de croiser son regard. Elle avait l’air de sourire très légèrement.

Après avoir croisé les yeux noirs de l’inconnue, Sania baissa doucement les yeux, et remarqua que l’autre fille avait pincé le bord de sa robe entre deux doigts, et qu’elle la tirait en arrière, dévoilant à-nouveau le haut de ses bas.

Sania écarquilla et releva les yeux. Le regard qu’elle rencontra la pétrifia, et elle se tourna pour regarder par la fenêtre, l’air de rien. La chaleur qu’elle sentait dans ses joues laissait malheureusement croire qu’elle avait changé de couleur, et l’autre fille l’avait certainement remarqué.

Quand le train passa dans un tunnel, les vitres se transformèrent un court instant en miroirs presque parfaits. Et Sania put voir le reflet des yeux de l’autre fille, qui la traquait du regard. Elle rougit encore davantage, prise en tenaille par le regard d’une seule personne...

Ce manège devint une habitude et pendant les semaines qui suivirent. Toujours sans se parler, l’inconnue continua de dévoiler ses cuisses sous les yeux de Sania. Celle-ci n’osait jamais rien dire, ni même réagir. Elle aurait pu prendre l’habitude de changer de wagon, ou prendre le train plus tard en restant à l’école pour faire ses devoirs, mais cette fille l’intriguait.

D’autres gens voyaient aussi que l’inconnue se montrait, mais celle-ci s’en fichait manifestement. Elle était focalisée sur sa cible.

Avec le temps, Sania devint de plus en plus mal à l’aise. Elle avait l’impression que l’autre fille ne voulait pas l’approcher, et cela faisait si longtemps qu’elles jouaient à ce jeu qu’il semblerait maintenant indécent à Sania de faire le premier pas. Elle se sentait coincée, comme si elle avait été emportée par une machine et quelle ne pouvait plus s’en défaire.

Un jour, Sania fut retenue à l’école au point qu’elle arriva tardivement à la gare et faillit rater le train. Elle y rentra en dernier, et ne trouva pas de siège libre en traversant le premier wagon. En arrivant au fond, elle se retrouva face à la belle inconnue, qui occupait à elle-seule un carré de quatre sièges. De peur d’avoir l’air ridicule en faisant demi-tour, Sania s’assit silencieusement en jetant un petit coup d’oeil à l’autre fille. En baissant les yeux pour regarder le siège vide à-côté de l’inconnue, elle remarqua soudain que la jeune fille bougeait. Elle avait les jambes croisées, et frottait doucement un mollet contre l’autre. Ses bas brillants émettaient un léger bruit de friction, qui s’arrêtait et reprenait à chaque fois que la fille changeait de sens. Sa main espiègle avait une fois de plus attrapé le bord de sa robe pour la retrousser. C’était une belle robe vert marin, avec de beaux reflets et une couture qui faisait des plis alternés de la hanche à l’aisselle. Il n’y avait pas de bretelles, mais un cordon fixé au milieu du décolleté, qui passait derrière la nuque de la jeune fille; elle ne portait certainement pas de soutien-gorge.

Sania était tétanisée. Elle savait que si elle relevait le menton, elle croiserait le regard de cette fille qui la travaillait lourdement depuis que le train avait quitté la gare. Ses jambes continuaient de glisser l’une contre l’autre, et elle avait tiré le bord de sa robe jusqu’à ses fesses. Sania remarqua que la fille avait mis un porte-jarretelle pour tenir ses bas, et cette découverte l’excita. Elle se mit à trembler, car elle se sentait comme une proie face à un prédateur. Elle savait que l’autre fille attendait qu’elle la regarde, et elle ne pouvait pas s’y résoudre. Sans savoir ce qui pourrait se passer elle en avait très peur.

C’était toujours Sania qui sortait en premier, quand le train atteignait la gare de son village. Juste avant l’arrêt, elle se leva et fit demi-tour en évitant de croiser le regard de l’autre fille. Elle s’en alla sans regarder en-arrière, jusqu’à ce que le train ait disparu.

Le lendemain, après l’école, Sania arriva dans le train en premier, et cette fois c’est la belle inconnue qui la rejoignit. Sans rien demander, elle s’assit face à la petite blonde, obligeant celle-ci à baisser les yeux devant sa présence intimidante.

L’inconnue portait une robe rouge s a n g , fendue sur le côté, sous laquelle on devinait qu’elle était nue. Il sembla même à Sania que les mamelons de la jeune femme dardaient à-travers la fine étoffe.

Quand le train se mit à appareiller, elles étaient toujours face-à-face et silencieuses. Alors la brune recommença de frotter ses jambes l’une contre l’autre, attirant le regard de Sania. Cette dernière releva brièvement les yeux, et croisa un regard braqué sur elle. Elle resta une seconde à lui renvoyer son regard, mais ne le supporta pas et jeta plutôt un coup d’oeil par la fenêtre. Elle s’aperçut alors que l’autre fille avait arrêté de remuer les jambes. C’est alors que sans crier gare, elle fit une chose nouvelle et étonnante: en faisant glisser ses fesses jusqu’au bord de son siège, elle retroussa d’un coup sa robe. Ensuite elle leva un genou et le déplia tout en souplesse, amenant son pied à la hauteur de la poitrine de Sania. Celle-ci n’avait pas osé faire face, mais observait la scène du coin de l’oeil. Elle ne réagit toujours pas quand la belle brune appuya son pied sur elle, entre ses seins, comme pour l’épingler dans son siège avec son talon aiguille. Elle avait fait cela d’un air naturel, sans se gêner, et avait capturé Sania. Cette dernière ne pouvait à-présent plus douter de rien: elle avait supposé tout ce temps que l’inconnue en avait après elle, c’était désormais confirmé. Le problème, c’est qu’elle ne s’en rendait compte qu’après avoir été prise.

Dès l’instant où l’inconnue l’avait attrapée avec son pied, Sania s’était mise à haleter. Obligée à regarder son interlocutrice silencieuse, elle croisa son regard comme pour lui demander ce qui lui prenait. Le regard de l’inconnue était comme celui d’un chat: c’était l’heure de jouer avec la souris.

En baissant les yeux, Sania put regarder la genre de chaussures que portait sa belle prétendante: il s’agissait de sandales à plateformes, avec un talon très long. Les souliers étaient faits de toile, dans laquelle des dizaines de petits trous formaient un motif floral. Un large ruban en satin passait par une partie de ces trous, faisant office de lacet.

Alors que ses fesses en étaient déjà dégagées depuis longtemps, et pour bien capter l’attention de Sania, l’autre fille attrapa le bas de sa robe et le remonta encore, découvrant jusqu’à son nombril. Elle était nue comme un ver en-dessous, et Sania put observer à-loisir son intimité indécemment révélée au public dans ce wagon. C’était une jolie petite chatte, glabre, bronzée comme la peau de cette magnifique jeune femme. Son clitoris saillait légèrement au-dessus de la fente, et celle-ci était bordée de lèvres pendantes au bord sombre. C’était la première fois qu’une fille montrait sa vulve à Sania, et celle-ci ne savait pas quoi faire: elle avait les bras ballants. Devant elle, l’autre fille la regardait fixement, d’un air de défi. Tenue en place par sa jambe tendue, Sania ne pouvait pas bouger.

Aucune des deux ne parlait, mais il y avait un échange constant entre leurs yeux. Sania était terrifiée: elle appréhendait la suite. Qu’allait-il se passer quand l’autre fille la relâcherait?

En parlant de cela, il sembla bientôt que le train arrivait à la destination habituelle de Sania, la gare de son village. Et quand le train commença de ralentir, la jeune fille croisa le regard de la belle brune, comme pour lui demander de la relâcher. L’autre fille ne fit rien, et la fixa jusqu’à ce que le train se soit arrêté. Elle ne changea rien pendant que le train attendait. Et elle ne faisait toujours rien quand le train repartit. Face à elle, immobilisée par sa semelle et son talon haut, Sania n’avait pas réussi à se défaire de son emprise: elle était sous H y p n o s e .

Le train s’arrêta à la gare suivante, et là seulement, la brune remit son pied par terre. Elle réajusta sa robe et partit en faisant claquer ses talons sur le plancher du train. Sania faillit ne pas réagir, mais au dernier moment elle se leva et la suivit au-dehors.

C’était le village voisin, mais Sania n’avait jamais vu cette fille.

D’abord elle resta sur le quai et la regarda s’éloigner. Elle ne savait pas si elle devait la suivre ou attendre le prochain train pour rentrer chez elle. La façon dont l’inconnue se déhanchait en marchant laissait croire qu’elle voulait attirer l’attention, mais voulait-elle que Sania la suive?

Juste avant de tourner pour s’engager dans une ruelle, la brune jeta un coup d’oeil à Sania. Celle-ci n’avait pas vu tous les détails car trente mètres les séparaient déjà, mais elle avait senti l’invitation: le regard de cette inconnue était sans équivoque.

En rattrapant lentement l’autre fille, Sania vit que celle-ci se dirigeait vers une maison entourée d’une clôture. La brune avançait d’un pas lent, théâtrale. Elle fit le tour de la bâtisse et monta sur un escalier en bois qui donnait sur une petite porte, à hauteur des combles.

Sania s’était arrêtée au bas des marches, mais en voyant que l’autre fille laissait la porte ouverte, elle comprit l’invitation, et y obéit...

À l’intérieur, dans la pénombre, siégeait un empilement de meubles et de matériel hétéroclite. Il y avait une tente auto-porteuse dans un coin, deux matelas à-côté, un réfrigérateur, quelques armoires rustiques, et une baignoire surmontée de cloisons en verre, avec un pommeau de douche au sommet. Le plafond était haut, et des cordes attachées aux poutres apparentes avait permis de suspendre des vêtements un peu au-dessus de la tête de l’occupante. Sur le sol étaient posés plusieurs tapis, et ils se chevauchaient par-endroits.

L’inconnue s’était dirigée vers un canapé, et s’y était assise pour se déchausser. Elle mit ses sandales de côté et jeta un coup d’oeil à sa visiteuse, qui attendait debout près de l’entrée.

Sania se sentait intruse dans ce milieu, le silence n’aidant pas, alors elle demanda:

  • Tu habites ici?

L’autre fille n’émit pas un son, mais se leva. D’un pas silencieux, elle s’approcha de Sania et l’attrapa par le bras. Celle-ci se laissa entraîner et asseoir sur le canapé, et regarda l’autre fille se planter devant elle, les jambes légèrement écartées. Sania essaya de lever le regard, mais les yeux marron de l’inconnue étaient insupportables; elle regarda plutôt le tapis.

Apparemment satisfaite, l’autre fille s’écarta de Sania et alla se poster devant une armoire. Elle l’ouvrit, puis attrapa le bas de sa robe pour l’enlever. Son corps hâlé se découvrait sous les yeux émerveillés de Sania, qui n’avait jamais vu pareille déesse. L’inconnue avait un dos magnifique, avec des omoplates et une échine légèrement saillantes, une cambrure parfaite, et des fesses musclées, en forme de gouttes d’eau.

Quand elle fit volte-face, Sania baissa les yeux, honteuse. Mais elle voyait toujours la belle jeune fille en coin, et se régalait du spectacle.

L’autre s’approcha du canapé où se trouvait encore Sania, et s’assit à-côté d’elle pour la regarder. Sania n’osait rien faire, mais elle se sentait opprimée. L’autre avait visiblement l’eau à la bouche, et elle se sentait comme une pauvre petite proie. Toujours sans parler, l’habitante se mit à caresser les épaules de son invitée, et approcha sa tête pour frotter sa joue contre la sienne. Sania s’était mise à trembler comme une feuille, elle avait cru recevoir un baiser.

  • Embrasse-moi! Souffla-t-elle tout doucement.

La brune se redressa un peu et posa un doigt sur la bouche de Sania: elle voulait qu’elle se taise. Sania l’accepta, mais essaya d’approcher sa bouche de la sienne. Avec un sourire, l’inconnue se rapprocha d’elle, mais lui fit seulement quelques bisous dans le cou.

Sania cessa de quémander un baiser, et regarda plutôt comment l’inconnue lui relevait son T-shirt pour découvrir son ventre. Quand elle le souleva encore, les seins de Sania apparurent à leur tour. Elle avait une poitrine plutôt menue, mais saillante, avec des mamelons coniques d’un rose appétissant. L’inconnue les trouva à son goût en tout cas, et se mit à les sucer pour faire gémir sa partenaire. Sania aimait bien cela.

Tandis qu’elles continuaient, un bruit se fit entendre à l’entrée. Sania releva la tête et regarda la porte s’ouvrir, laissant passer une autre jeune femme.

  • Eva? Lança celle-ci.

La brune cessa de lécher les seins de Sania et répondit:

  • Salut!

Sania se sentit très vexée de l’entendre parler seulement à quelqu’un d’autre. Elle détailla rapidement la nouvelle-venue du regard. C’état une fille un peu plus grande qu’elles, vêtue de noir. Elle était allé poser un sac en plastique sur le réfrigérateur, et elle se tourna vers les deux autres pour les regarder.

  • Tu l’as trouvée où celle-ci? Demanda-t-elle.

La brune, qui semblait s’appeler Eva, se sépara de Sania pour s’approcher de son amie, tout en discutant. Elle avait une très belle voix, au timbre grave.

  • Dans le train. Je crois qu’elle m’aime bien.

  • Elle s’appelle comment?

  • J’en sais rien. Fit Eva, avant de se tourner: C’est quoi ton nom?

  • Sania. Soupira la jeune fille.

C’était un prénom atypique, et la plupart des gens faisaient une petite remarque en l’entendant pour la première fois. Aujourd’hui, Sania eut la déception de constater qu’aucune des deux ne semblait impressionnée.

Eva regarda son amie, et celle-ci regarda Sania. Elle l’observait attentivement, et cela gêna beaucoup la petite jeune fille, qui remit lentement son T-shirt par-dessus son corps.

  • Elle est mignonne. Conclut la nouvelle-venue. Tu la veux pour toi toute seule?

Cette question fit sursauter Sania, mais elle écouta attentivement la réponse d’Eva:

  • Pour l’instant, oui.

  • Elle est vraiment très jolie. Répéta la nouvelle-venue.

Eva se rapprocha de Sania et attrapa le bas de son T-shirt pour la déshabiller. La jeune fille résista un peu en regardant l’intruse, et Eva insista:

  • Laisse, elle va pas te regarder!

C’était peu convaincant, mais Sania accepta de se laisser faire. Un instant après, elle n’avait plus de haut. Eva lui enleva aussi son pantalon, et regarda son corps pendant quelques instants.

Eva était toujours sur ses pieds. L’autre s’approcha et s’assit à-côté de Sania, en-travers pour la regarder; son regard était pesant.

Après un petit moment, Sania releva les yeux et croisa brièvement le regard de la nouvelle-venue, qui lui sourit. L’échange avait duré un quart de seconde, mais Sania avait pu voir des tas de détails: les beaux cheveux blonds de la fille étaient coupés en dégradé et légèrement teints en rose vers l’extrémité, elle avait des yeux couleur acier, froids mais intenses, et elle souriait en coin avec sa petite bouche, découvrant de belles dents blanches.

La nouvelle-venue avait délié la langue d’Eva, et celle-ci demanda:

  • Tu veux que je remette mes belles sandales?

Sania hocha vivement la tête, et l’autre fille répondit:

  • Mets-les si tu veux...

Sania trouva cela très vexant, mais Eva s’accroupit en lui souriant. Une fois chaussée, elle tira un petit fauteuil et le mit en face de Sania avant de s’y asseoir. Elle tendit un pied vers les jambes de Sania, qui se laissa faire, et les lui écarta doucement avant d’appuyer sa semelle contre l’intérieur de sa cuisse, pour la caresser délicatement.

  • Enlève ta culotte, petit monstre! Demanda-t-elle.

Sania n’aimait pas que l’autre fille la regarde, mais en même temps elle ne voulait pas laisser échapper une occasion d’être touchée par Eva. Avant que l’étoffe ait touché le sol, la chaussure d’Eva était déjà retombée sur la chatte de la jeune fille, qui écarta un peu plus les jambes en lâchant souffle saccadé. Elle devenait folle d’excitation.

  • Elle aime bien tes sandales. Constata l’autre fille, réapparaissant soudain.

Cette intervention fit se raidir Sania, et Eva tonna:

  • Arrête ça!

Elle se tourna vers son amie et lui indiqua:

  • Tu fais peur à Sania.

  • Elles font pas autant de manières d’habitude! Rétorqua l’autre.

Eva secoua la tête en pressant la vulve de Sania sous sa petite semelle, et puis elle leva sa jambe à la verticale. La chaussure était devenue toute mouillée là où elle avait touché Sania.

  • Tu me plais de plus en plus. Souffla-t-elle. Tu as envie que je te lèche la chatte?

Sania sursauta en entendant cette question. C’était la première fois qu’elle en avait l’occasion; elle n’osait pas répondre.

La troisième fille attendait elle-aussi la réponse, et tandis que l’attente s’éternisait elle insista:

  • Sania?

La jeune fille se tourna brusquement vers elle, intimidée, et frissonna v i o l emment en croisant son regard de métal.

  • J’arrive... Décida Eva, en descendant du canapé.

Elle enleva à-nouveau ses sandales, sans doute pour ne pas en frotter le dessus sur le sol, et se mit à-genoux devant les jambes écartées de Sania. Celle-ci respirait mal et tremblait de partout. Elle ne regardait plus les yeux de la troisième fille, mais sentait bien que celle-ci la regardait fixement. Sa sensation d’oppression était d’un très haut niveau.

  • C’est ta première fois. Remarqua Eva.

Elle attrapa Sania par les genoux et les lui écarta. La jeune fille résistait par réflexe, au bord de la panique, mais sans empêcher sa partenaire de progresser. Celle-ci amena son nez juste au-dessus de la fente dégoulinante, soupira longuement, et tira la langue pour l’effleurer. Sania ne parvint pas à réprimer un soupir de surprise et d’extase, et Eva s’écria:

  • Oh, tu mouilles de plus en plus. J’aime ça!

Tandis qu’Eva léchait Sania, la troisième fille intervint en attrapant cette dernière par le menton, pour la f o r c e r à croiser son regard. Ses ongles pointus s’enfonçaient dans les joues de la jeune fille, qui se mit à geindre de peur en croisant ses yeux gris. La troisième fille ne fit rien de plus, l’agressivité naturelle de ses yeux suffisant à malmener Sania et à la faire gémir continuellement. Eva n’était pas pour rien dans le déclenchement de ces plaintes. Sania gémissait bizarrement, hors de contrôle; chaque minute ses yeux se révulsaient un peu plus, brouillant sa vue et déclenchant une douleur grandissante dans son crâne. Le regard oppresseur de la troisième fille gagnait en intensité, comme si elle sentait et appréciait la souffrance de sa victime. Et Eva accélérait, enfonçant sa langue dans chaque interstice intime de Sania. Celle-ci commença à émettre de plus en plus de bruit, et la troisième fille commença de s’approcher dangereusement d’elle, comme pour l’embrasser. La jeune fille se mit à paniquer, puis à jouir sous les caresses d’Eva. Lorsque ses tremblements indiquèrent à la troisième fille quelle arrivait au point culminant, celle-ci posa doucement ses lèvres sur les siennes, dans un petit soupir d’excitation.

Quand ce fut fini, Eva se releva et arracha son amie à Sania pour l’embrasser sur la bouche. Quant à Sania, elle resta sur le canapé, mue uniquement par ses propres halètements.

Les deux autres filles se relevèrent et s’approchèrent de leur réfrigérateur pour y prendre quelque chose à boire. Tenant sa canette dans la main, Eva revint près de Sania et ramassa sa culotte sur le sol. De retour vers son amie elle posa sa boisson et se baissa pour enfiler la culotte. Sania avait la hanche plus fine, et le petit vêtement s’avéra plutôt serré sur Eva; il lui rentrait dans les fesses. La troisième fille profita de la situation pour glisser ses doigts sur les fesses d’Eva, et lui souffla des mots à l’oreille. Ce spectacle vexait un peu Sania, mais elle n’osait pas protester. Pour attirer l’attention, elle se mit debout et entreprit de se rhabiller. Les deux autres s’en fichaient comme d’une guigne, et Eva daigna seulement se tourner vers elle quand elle la vit soulever son sac à dos.

  • Tu pars sans me donner un bisou?

La jeune fille s’était brusquement arrêtée. Entendre Eva lui parler directement lui avait donné la chair de poule. Elle essaya de se tourner, mais ne parvint qu’à faire un demi-tour; Eva arrivait déjà près d’elle, et lui posa une main sur l’épaule en soufflant:

  • Viens-là, petit monstre...

La demi-minute qui suivit était mémorable. Eva avait directement mis ses lèvres sur celles de son invitée, et l’embrassait goulument. Elle ne tarda pas à la prendre par les joues, comme pour la contenir, et fit de petits pas dans sa direction, pour la faire reculer. Elle l’adossa ainsi contre un mur, et entreprit de la caresser un peu partout, jusqu’à ce que la troisième fille demande:

  • Tu veux te payer encore un tour?

Eva se décrocha de Sania et plongea son regard dans le sien, captant toute son attention. Elle soupira:

  • Non. Mais cette petite est tellement bonne...

Cette remarque fit rougir Sania, qui détourna la tête pour lui échapper. Eva se mit à rire et lui embrassa le cou avant de conclure:

  • Vas-t-en maintenant, sinon je vais te baiser encore une fois.

Sania lui jeta un petit coup d’oeil, le temps de voir qu’elle ne lui était en rien hostile, et se dirigea vers la sortie. Elle quitta les lieux sans se demander ce qu’allaient faire les deux autres, et retourna à la gare.

Le soir était venu, et la jeune fille était en retard pour manger. Elle s’expliqua à ses parents en disant qu’elle avait fait un devoir difficile avec une copine. C’était mieux que de leur expliquer qu’elle avait passé une heure à se faire tripoter par deux inconnues dont elle ne savait le prénom que d’une seule...

Cette histoire la travailla toute la nuit. Elle s’était sentie bien sur le moment, mais en y réfléchissant elle se trouva inconsistante. Eva avait fait ce qu’elle voulait, sans rien demander, et son amie aussi. Sania avait l’impression de s’être laissé embarquer dans une histoire pas nette, comme si c’était interdit, voire criminel de jouer les soumises avec des filles entreprenantes et vicieuses.

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